Reconnaissante de tout ce qu’elle a reçu des autres, le désire qui caractérise Lorrina B. est celui de partager le savoir reçu et acquis et d’amplifier la connaissance en la favorisant et en la propageant. Or, comme il existait, dans le cadre des rencontres, un auditoire participatif pluriethnique, cela la conduisit naturellement à contribuer aux conférences organisées par les partenaires tant en France qu’a l’étranger

C’est ainsi que, sans compter les conférences qui étaient organiser par les pays participants aux Rencontres et auxquelles Lorrina prenait part, 15 conférences (un peu plus d’une par an) sur les thèmes de l’art et de la société, traitées sous un angle éthique, esthétique, philosophique, économique et culturel, avec un souci de rapprochement entre les techniques artistiques étaient directement organisées par le Centre de Bagnolet.

Bien que parfois le public n’était pas toujours présent, ces conférences, qui avaient un succès inégal en France, s’organisaient parfois en collaboration avec des cinémas des villes et des projections cinématographiques, en présence d’écrivains, de compositeurs, de scénographes, de cinéastes et d’éclairagistes et surtout de danseurs et de chorégraphes.

D’autres collaborations connaissaient un succès quasi garanti, celles qui concernaient les Centres culturels étrangers à Paris par exemple : le Centre culturel italien, le Goethe institut, et des centres culturels français à l’étranger par exemple : conférence sur Jan Fabre et sur Emil Hrvatin, à l’Institut Français de Ljubljana (Slovénie), pour un des livres de la collection, édité et traduit du slovène en français, puis du français en flamand, ou le Centre culturel français au Japon à Yokohama à l’initiative de Makoto Ishigwara, ou des institutions tels que la Fondation Gulbenkian à Lisbonne, l’Institut Britanique du Portugal ou l’Institut du monde arabe à Paris…

Documents

• Toutes les 14 secondes… Sida et acte artistique
• Liste des conférences